Après les vallons verdoyants et escarpés des Grands-fonds, s’étend la plaine de Grippon à Morne-à-l’eau.
C’est un paysage varié, entre mangroves, plages, plaines agricoles plates, savanes battues par les vents de l’alizé, et falaises vertigineuses. C’est un monde rural suspendu hors du temps où l’histoire semble vouloir refuser de se mêler à la modernité. Terre refuge des derniers indiens Caraïbes de l’archipel, devenue terre de moulins et d’anciennes habitations sucrières comme l'ancienne usine de Port-Louis, réaménagée en ambitieux centre culturel. Le patrimoine bâtit compte partout des vestiges de l’esclavage comme les marches à Petit-Canal. Les gîtes familliaux et les restaurants de campagne sont des bases toutes indiquées pour des randonnées et des ballades pédestres, équestres, en charrette, ou à vélo. Il est bon d’y faire du surf et de sortir avec les associations du coin.
La plaine de Grippon à Morne-à-l'eau et le canal des rotours
Le moulin de Bonneveine à Anse-Bertrand. (en arriere plan le parc éolien)
Le rocher du Piton, à la Pointe de la Grande Vigie à Anse-Bertrand
Taonaba, la maison de la mangrove aux Abymes
Une locomotive de l'ancienne usine de Beauport à Port-Louis
Les Marches des Esclaves à Petit-Canal
Les Mangles des Médailles à Belle Plaine aux ABYMES,
quand la forêt de palétuviers rencontre la savanne
(les mangles designent un environnement innondable, mi-savanne/mi-mangrove)
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